A la base tout devait marcher comme sur des
roulettes, départ 14h 30 arrivée au Première
Classe de Dijon aux alentours de 19h 30 et des brouettes, pique-nique
puis France-Paraguay. Bon, du match on n’a rien vu… Sommes arrivés peu après la bataille,
mais de toute manière c’était un « match nul »...
Sommes pourtant partis quasiment à la bonne
heure 14h 45 ! On a calé le moins baraqué (Etienne) devant entre Mme Soler
(au volant) et Mr Baillette (à la sieste).
L’explication relativement simple à ce
« retard » est que nos convoyeurs (ne sommes-nous pas des badistes de
valeurs !) avaient omis de décoder les signaux de Bison futé. Et donc, à
partir de Valence, ça a été plutôt « lapin crétin »… Evidemment, big week-end
à rallonge oblige, ça circulait dru et ça bouchonnait ferme, des ralentissements
et des retenues de 5, 10 km, en veux-tu (non !) et bien en voilà…
Au 5ème méga-bouchon, les profs ont
eu la lumineuse idée, enfin plutôt l’idée, voire la fantaisie ou plutôt la lubie,
de s’échapper de l’autoroute pour prendre des chemins de traverse (et de traviole),
en l’occurrence un itinéraire Bis : ces petites routes marquées en jaune
tout fin sur les cartes routières. Difficiles à repérer, d’autant que Mr Baillette
avait égaré ses binocles. Et effectivement, c’était bien du Bis. Pas un rappel
avec applaudissements de satisfaction et encouragements à persévérer, mais un bis
vraiment secondaire, voire quasiment tertiaire. On a donc un peu visité la
contrée environnante. Pour un peu on serait passé par Perpètes-les-Alouettes,
avec détour par Trifouilly-les-Clarinettes et Cujes-les-Pralinettes (des noms
qui mettent en joie Robin découvrant quelques expressions françaises). Sauf que,
nous n’étions pas les seuls à avoir eu cette lumineuse idée, elle perdait donc
franchement un peu de son incandescence l’idée. Une idée aussi largement
partagée ne doit pas finalement être aussi remarquable que cela. Donc, ça ralentissait
aussi pas mal sur le Bis… ce qui laissait du temps pour visualiser le paysage.
Au bout du compte, disons bien pesé 2 heures, nous sommes arrivés à Romans.
Au bout du compte, disons bien pesé 2 heures, nous sommes arrivés à Romans.
Là on était un peu pommé, alors on s’est garé
et on est allé au cinéma… Pas pour voir « Le vieux qui ne voulait pas
fêter son anniversaire » (l’affiche a les faveurs de Mr Baillette, allez
savoir pour quoi ?) mais pour profiter des toilettes…
Ensuite on est reparti, Mr Baillette s’est installé
au volant et nous avons pris l’heureuse décision de regagner l’autoroute.
Et là miracle, entre-temps la circulation s’était fluidifiée, cela valait mieux
car avec Baillette aux commandes c’était « Fast en Furious n°6 »
(version certes un peu édulcorée – le tank en moins…).
Pour faire rapide, on a bien dormi. Le lendemain on a bien déjeuné. Les profs nous ont dégoté un coin hyper sympa avec vue imprenable sur l’autoroute !
Puis on est arrivé à Reims, on s’est fait
enregistré, Etienne a passé avec succès son test de Jeune Officiel. Tandis que, pour ne pas dévoiler notre jeu à nos futurs adversaires, nous nous
sommes essayés au badminton en fauteuil.
Mais, rassurez-vous, demain on devrait arriver à jouer debout et Reims détrônera Lourdes dans l’ordre du prodigieux !
Mais, rassurez-vous, demain on devrait arriver à jouer debout et Reims détrônera Lourdes dans l’ordre du prodigieux !
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