Finalement on a réussi à entrer dans cette maudite gare et à monter dans le 6h 26, certes un peu chargé, mais on a trouvé des places en se faufilant et à Nîmes ça c'est quasiment vidé...? Alors on a pris nos aises, et certaines ont sorti leurs doudous pour piqué un petit roupilllon.
On s'est donc restauré, en attendant le prochain convoi. Mr Baillette, notre berger, en a profité, comme de coutume, pour amplement prélever sa dîme dans nos paquets de chips, après quoi il est allé se régaler d'une sympathique tarte au citron meringuée pour lui tout seul...
Puis le train en partance pour Cherbourg, via Caen, a été brusquement annoncé. Et, là aussi on a fait fort. Car, finalement, malgré le flot humain, la multitude énervée, qui montait à l'assaut du TER 3307 de 12h 10, on a topé un wagon avec le nombre de places vacantes adéquat. De quoi refaire un petit calinou à son doudou d'amour.
On a donc débarqué à Caen, un 6 juin, en début d'après-midi et avons été accueillis à bras ouverts, tels des libérateurs, par des vrais Normands et des profs de gym-qui-z'ont-pas-encore-eu-leur-mutation-pour-le-Midi. Aussi, pour nous faire gouter au folklore local les gais lurons n'ont pas trouvé mieux que de nous faire poser avec deux vaches ! Même pas normandes les vaches elles étaient ! C'étaient des Catalanes ! "Sang et or" comme on dit à l'USAP ! Faudrait pas nous prendre pour des touristes !
Bon demain, phases de poule et matchs de croisement, ça va moins rigoler !
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